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Coécrit avec
Olivier Leviel,
expert judiciaire
Le livre blanc des biodéchets en restauration

Pour aller plus loin : zoom sur l’économie circulaire

Un développement réellement durable doit sortir du cycle linéaire « extraire – fabriquer - jeter ». Dès les années 70, les premières réflexions sur un modèle d’économie circulaire ont été menées. En 2002, dans leur ouvrage Cradle to cradle (Du berceau au berceau), William McDonough et Michael Braungart opposent au recyclage conventionnel le principe du maintien de la qualité des matières premières tout au long des cycles de vie du produit. Cela signifie qu’il n’y a plus de déchet, seulement des nutriments. Relativement récente, la notion d’ « économie circulaire » figurait dès 2007 dans l’objectif n°1 du pacte écologique de la Fondation Nicolas Hulot. En 2010, la Fondation Ellen MacArthur l’a popularisé. S’il n’existe pas encore de définition normalisée de l’économie circulaire, la plus communément admise est celle du cradle to cradle.

L’application de ces principes chez Meiko

Les valeurs de l’entreprise, liées à son statut de fondation, ont naturellement conduit Meiko à mettre en application la démarche d’économie circulaire. Ce sujet s’inscrit parfaitement dans la thématique de la gestion et de la valorisation des biodéchets. Pour Meiko, l’économie circulaire se traduit à travers deux actions principales :

Le cycle des matériaux

De la conception à la fin de vie du produit, Meiko met en pratique les fondements de l’économie circulaire :

  • appareils constitués à plus de 90 % d’inox, matière dont le recyclage est infini et aux qualités intrinsèques inégalées ;
  • recyclage des déchets de production par catégorie de matière ;
  • recyclage des produits en fin de vie dans une filière D3E.

cercle

L’économie de fonctionnalité

Les produits Meiko sont reconnus pour avoir les plus longues durées de vie de leur catégorie : Meiko donne du sens à la longévité de ses produits en y ajoutant l’évolutivité qui permet aux clients de bénéficier des améliorations de performances par une mise à jour des logiciels de programmation reculant ainsi l’obsolescence des produits trop souvent programmée par certains fabricants. Meiko s’appuie sur les qualités de durabilité et d’évolutivité de ses produits pour réduire l’empreinte écologique de son activité (et de celle de ses clients) et pour développer une économie de fonctionnalité à travers son contrat « service clé en main » WasteStar. Meiko assure une utilisation optimisée de ses matériels durant toute leur durée de vie et le restaurateur peut disposer en fonction de ses besoins du juste équipement, au juste moment, pour le juste prix. Pour s’adapter aux évolutions d’activité, à une baisse du volume des biodéchets par une meilleure gestion du gaspillage alimentaire ou à d’autres paramètres rendant le matériel initial inadapté, sur dimensionné ou sous dimensionné, le contrat « service clé en main » WasteStar offre la possibilité d’une meilleure visibilité budgétaire de la gestion des biodéchets, transposable en charge directement affectée au nombre de repas servis.

Pour en savoir plus :

À NOTER

Le GECO a été mandaté par le ministère de l’Agriculture pour rédiger un guide des bonnes pratiques pour la gestion des biodéchets en restauration. L’édition de ce guide, élaboré avec les différentes organisations professionnelles de restaurateurs et sous l’égide de l’ADEME est prévu début 2017.

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